LeSoir.be du 17/03/2020

 » Il s’agit d’un procédé d’extraction manuelle du code génétique du virus à l’aide d’un composé chimique, d’une hotte et d’une centrifugeuse», a expliqué Benoït Muylkens, virologue et directeur de l’Unité de recherche vétérinaire intégrée de l’UNamur, à l’origine de la découverte. «Le code génétique est ensuite transformé en ADN qui est amplifiée et lors de l’amplification un signal lumineux est donné pour indiquer si le patient est atteint ou non.  »

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