Article paru dans Le Vif • Numéro 48 • 28.11.2019 • Par Catherine Joie • Photos: Gaëlle Henkens

“ J’en connais plein, des éleveurs qui arrêtent, qui n’ont pas de repreneur ou qui ne veulent pas que leurs enfants fassent ce métier”, entend-on souvent. Leur raisonnement est dès lors le suivant : les petits élevages diminuent, disparaissent et fusionnent ; les bovins sont concentrés dans certaines exploitations, plus grandes ; la charge de travail se répartit différemment en Wallonie ; la profession disparaît petit à petit… Et enfin, le coup de grâce : “De toute façon, plus personne ne veut manger de viande… ”

La journaliste Catherine Joie a bouclé une première version de l’enquête sur les vétérinaires ruraux pour Le Vif. Elle nous communique: « Je ne considère pas du tout qu’il s’agisse d’une version « aboutie » du sujet, pour la simple raison qu’il n’en existe probablement pas. Je rêve et défends un journalisme qui serait en mouvement perpétuel. »

 

 

Ce travail journalistique a été possible grâce au soutien financier du Fonds pour le journalisme en Fédération Wallonie-Bruxelles.